Ah Comme on la comprend, cette complainte écrite et envoyée à la rédaction par un lecteur du journal malheureux. Malheureux à l’idée de voir tant de fruits de son verger gâchés lors des bonnes saisons, faute d’avoir dans son carnet de contacts les coordonnées d’un magicien devenu espèce en voie de disparition : le bouilleur de cru. Alors pleurons ensemble. Des larmes de gnôle !
Article de Antoine COURIVAUD à lire dans le Mefia Te ! numéro 20