Cohabitation entre chasseurs et non-chasseurs
Dans un dossier comme celui-ci, le risque, c’est de se limiter à l’opposition frontale entre les « pro » et les « anti ». Cela dit, on ne peut pas non plus nier le fait que la cohabitation entre chasseurs et non chasseurs pose des problèmes. On lit parfois des récits de drames dans les médias nationaux, mais même au niveau local, lorsqu’au milieu d’une promenade dans les bois on entend des coups de feu, pas évident de rester complètement serein. Y a-t-il de la place pour tout le monde dans les bois bas-marchois ? That is the question.
Article de Baptiste SOUCHAUD à lire dans le Mefia Te ! numéro 16