« Bonjour, je tenais juste à féliciter toute l’équipe avec ce message. Ça fait 2 ans que je suis sur le territoire et je trouve formidable de voir des gens s’investir pour le faire vivre, et surtout pour médiatiser ce qui s’y passe et redonner aux habitants la fierté d’y vivre ! Dans un contexte compliqué, entourés de pas mal de gens désabusés et fatalistes vous démontrez qu’on peut bouger les choses ! Qu’on peut s’investir sur son territoire en le défendant et en se questionnant, qu’on peut participer au débat public. Comme l’écrivait Mark Twain « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait » et vous le faîtes. Bravo ! » / Olivier
« Bravo pour votre très beau travail rédactionnel. Ma famille et moi venons d’arriver dans le coin et Mefia Te nous a beaucoup aidé à prendre nos repères. » / Lionel
« […] Il y a de quoi faire dans le Haut-Limousin car ils en font des conneries ! La com com qui investit des millions d’euros aux Pouyades dans un contexte de réchauffement climatique !!! Ils sont fous… et dans 5 ans, la mare est à sec, et on fait quoi des bâtiments ?!! Voilà comment on crame des millions d’euros d’argent de nos impôts ! Et ce beau bois de Saint-Anne qui est bousillé par les parcs de chasse et d’élevage, éoliennes, coupes forestières intensives […] » / Fred
Et un petit échange sur les réseaux sociaux :
Un internaute : Vous roulez pour qui ? Droite ? Gauche ?
Mefia Te : La question qui tue ! À la naissance de notre journal, il y a la volonté de défendre un territoire rural parfois décrit comme moribond. On n’est pas d’accord avec ce point de vue, et donc on souhaite fédérer toutes les bonnes énergies locales. Donc vous trouverez des articles signés par des gens qui votent plutôt à droite, et d’autres par des gens plutôt à gauche. Après le deuxième numéro, on nous a taxés de gauchisme. Après le numéro 3, on nous a dit qu’on favorisait la municipalité en place à Bellac. Alors bon, on en rigole, et on continue à essayer de proposer différents points de vue… Tout en fuyant la neutralité atone : vive le dissensus, vive le débat !