Ce questionnement autour du thème de la résilience alimentaire est évidemment répandu aux quatre coins de France. Certaines villes, régions, ou associations ont même un train d’avance. Et on serait tenté de vous dire : tant mieux ! Comme ça, notre territoire bas-marchois est en mesure de s’inspirer des bonnes pratiques, de piocher dans ce qui fonctionne ailleurs, afin d’essaimer de nouveaux projets équivalents par ici… Voici trois exemples d’actions concrètes en lien avec la problématique de l’alimentation locale ; il y en aurait bien sûr des dizaines d’autres.
Article de Marion SALAUN et Ibrahima KANE, à lire dans Mefia Te! numéro 7