Partir à la campagne, ou plutôt « anar à la campagna », disaient en patois les migrants marchois, expression paradoxale quand ils quittaient leur campagne pour la ville ! Ce fut une longue tradition que cette migration des maçons et tailleurs de pierre. Dès le Moyen Âge déjà, de nombreux hommes partaient d’une Basse-Marche trop pauvre, laissant pays et famille pour un travail dans des régions voisines moins ingrates. Voici donc un voyage dans le temps, qui trouve souvent un écho étrange au vu des migrations de notre siècle.
Article de Danièle Chapelain, pour le Musée René Baubérot de Chateauponsac, à lire dans Mefia Te n°3!