C’est une belle citation, que l’on attribue à Francis Blanche, particulièrement pertinente pour exprimer simplement les questions presque existentielles nous venant à l’esprit ces jours-ci. On a beau vivre dans notre joli petit coin de campagne du Nord Haute-Vienne, nous n’en sommes pas moins partie d’un tout, petite parcelle d’un monde globalisé. Et ce monde-là, avec cette « crise covid », il a souffert. Alors comment on repart, après cette expérience ? On refait tout pareil, en attendant la prochaine fois et en croisant les doigts ? Ou bien on essaie de réfléchir ensemble ? Finalement, c’est peut-être à la petite échelle d’un territoire comme le nôtre que la réflexion pourrait commencer, non ?
Article de Aymeric MERCIER à lire dans Mefia Te! numéro 6!
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